• CYBERPUNK 2077

     

    Résumé :

     

    NIGHT CITY VOUS TRANSFORME.

    Cyberpunk 2077 est un jeu d'action-aventure en monde ouvert qui se déroule à Night City, une mégalopole obsédée par le pouvoir, la séduction et les modifications corporelles. Vous incarnez V, mercenaire hors-la-loi à la recherche d'un implant unique qui serait la clé de l'immortalité. Personnalisez le matériel cybernétique, les compétences et le style de jeu de votre personnage, et explorez cette ville immense où chacun de vos choix auront un impact sur l'histoire et le monde qui vous entoure.

    ________

     

    NOTE : Je joue sur PS4 PRO



    SPECTACLE ARTISTIQUE ♦

     

    Comme le nom du jeu l'indique, cette nouvelle aventure se passe en 2077. Un futur riche en technologie et, vous vous en doutez, où l'humanité en a pris un sacré coup. A quoi bon avoir un cœur dans une société où l'argent règne plus que jamais ? J'ai reçu un livret explicatif avec le jeu tellement il est riche en éléments et en détails. Entre les guerres, les factions qui se créent, celles qui se disloquent, les clans, les distinctions sociales, les différentes armes et leurs types et même les différents équipements physiques... il y a tout un panel d'histoires à raconter, et c'est pas pour les enfants !

    J'en ai pris plein les yeux. Vraiment. Ce jeu est déroutant tant l'aspect visuel est poussé à son extrême. Le studio polonais CD Projekt, à qui l'on doit notamment les jeux The Witcher tirés de la série de romans du même nom, a visé haut. Très haut.

    Et avant de poursuivre plus avant mon article, j'emmerde les détracteurs qui ont tout fait pour critiquer et chercher tous les bugs ; tous les joueurs consoles, moi y compris, on devait s'attendre à un jeu difficilement jouable tant il abonde de richesses techniques. J'ignore comment ça se passe pour les joueurs Next-Gen (PS5 et Xbox série X), mais je le dis tout de suite : si vous possédez juste une PS4 basique, passez votre chemin ! Je suis sur PS4 PRO et, sur des sessions de plusieurs heures, la console plante systématiquement toutes les heures (ah, les écrans bleus qu'on adore...)  Pourquoi ? Parce que ce jeu pousse vraiment les capacités Old-Gen au delà du possible. Seuls les joueurs avec un très bon PC pourront bénéficier d'un jeu quasiment aux normes après tant d'années d'attente.

    Donc, pour conclure cette aparté, je ne fais pas parti de ceux qui râlent. Évidemment que c'est saoulant, en pleine mission, d'avoir un crash et de devoir redémarrer le jeu. J'essaie de prendre l'habitude d'aller dans le menu de sauvegarde et de laisser la PS4 calmer ses ventilateurs pendant quelques minutes (on dirait un avion de chasse au décollage quand même...). Mais franchement, que les chieurs la ferment et s'achètent un bon PC, point. Ce n'est un secret pour personne que PC est meilleur, même si je n'entre pas dans cette guerilla non plus (pour moi, un PC c'est pour bosser, je laisse les jeux aux streameurs et aux grands gameurs). Donc si ça ne plait pas, n'allez pas gueuler sur des développeurs qui ont eu déjà assez d'histoires dans leur entreprise, ce sont des êtres humains et ils ont effectué un travail de tous les diables. A cause des plus virulents, notamment journalistes de merde et gameurs du dimanche, le jeu a été bâclé pour arrêter de repousser la sortie encore et encore et, du coup, ça sent l'inachevé à plein nez !

    Hum hum. Reprenons.

    Je trouve Night City magnifique et tellement étouffante à la fois. Mon côté agoraphobe en prend un sacré coup quand je dois arrêter de conduire ma moto (ouais, je préfère rouler en moto 8D) à certains endroits de cette IMMENSE ville. Immense, le mot est faible. Aucun temps de chargement et, quand vous roulez d'un point A à un point B avec l'affichage des kilomètres, vous mettez le même temps qu'en voiture dans la vraie vie (j'ai calculé approximativement, oui oui, j'aime bien savoir ce genre de détails parce que c'est moins flagrant dans les jeux plus épurés comme The Witcher ou Assassin's Creed). Certains bâtiments donnent la nausée tellement ils sont immenses, d'autres sont juste des bidonvilles qui indiquent clairement la différence entre les riches et les pauvres. Si le futur ressemble à ça, on est bien dans la merde...

    J'ai, malgré moi, assisté à une petite conversation entre deux enfants ; une petite fille jouait à la marelle avec un casque de réalité virtuelle et un petit garçon était assis à côté. Ils parlaient d'un Carlin, la race de chien. Sauf que, en 2077, on ne voit aucun animal dans les rues... Pour cause ! Les enfants ignoraient si un Carlin était un chien ou un chat. Pire : la petite a conclu en disant que, de toute façon, « Ce sont des Dinosairs ! » Premier constat : le mot dinosaure a été transformé avec le temps ; Second constat : les chiens et les chats ont disparu... Ce genre de réalité, j'en veux pas. C'est triste. Et cette petite scène, quelque part en abord de la ville, m'a plombé le moral. Donc on pourra dire ce qu'on voudra, ce jeu marquera les esprits pour beaucoup. Allez savoir si tous les animaux n'ont pas disparu, au final.

    Au delà de Night City, vous pouvez parcourir des kilomètres et des kilomètres de plaines quasiment désertiques, ce qui contraste énormément et m'a aussi pris aux tripes. Là aussi, je me suis senti étouffé. Cette fois par le silence et l'immensité du vide. Toujours sans aucun chargement visuel, vous roulez, roulez, roulez... Je n'ai pas essayé d'aller plus loin que les routes indiquées sur ma carte mais j'avais l'impression d'être déjà très loin. On ne voit même plus les grands buildings de Night City alors que cette ville fait la taille d'une région (bon, j'exagère à peine...)

    Bref, de jour comme de nuit, difficile de savoir si j'aime ou non. En vrai, je n'aime pas les villes. Mais avouez : ce jeu est tristement beau et riche.

     

     

     

    HISTOIRE

     

    Avant toute chose, créez votre personnage. Vous avez des choix d'apparences assez conséquents (bien que je m'attendais à une personnalisation du visage aussi poussé que Dragon Age Inquisition, ce qui m'a un peu déçu) et, ce qui fait la force de Cyberpunk, c'est votre choix sexuel :

    Femme avec une voix d'homme ? Femme avec un sexe d'homme ? Homme avec une voix de femme ? Un sexe féminin ou sans sexe ? La taille du sexe masculin petite ou grande ? En vrai, la taille du sexe n'a aucune importance... Mais le choix de votre personnage influencera certaines romances, évidemment. Le seul mec que je voulais me taper était hétéro ! Mais j'ai bien ri quand j'ai eu une option de dialogue où j'ai pu essayé de l'embrasser XD

    Une fois votre personnage créé, ainsi que la faction choisie (j'ai pris Nomade, ça me correspondait mieux), vous pouvez commencer votre parcours. Une première mission où vous rencontrerez votre nouvel ami, Jackie. Et, croyez moi, son apparence ne va pas avec ce nom ! Jackie est un poids de muscles, coupe samouraï, bisounours habillé de cuir sur sa moto. Je m'en suis méfié, j'avoue, puisque ce genre de jeu t'apprend très vite à te méfier de tout le monde, mais franchement Jackie est le pote d'apéro idéal !

    Vous êtes V, juste une lettre parmi des milliers d'anonymes, et n'êtes qu'un mercenaire qui cherche à se faire une place dans l'immense ville de Night City. Votre principale occupation ne sera que d'accomplir des quêtes à droite et à gauche pour vous faire de l'argent et obtenir une bonne réputation pour gagner toujours plus. Il n'y a rien d'autre à faire pour survivre à Night City.

    Mais...

    Oui, toujours un mais...

    Un jour, l'une de vos missions tourne mal. Vous n'êtes qu'au prologue du jeu et vous voilà avec une Biopuce très spéciale dans le crâne. Vous n'êtes plus seul. Et vous ne pouvez pas retirer cette Biopuce car vous mourrez et la personne "enfermée" dans la puce prendra votre corps. Sympathique destin, n'est-ce pas ? Du coup, votre temps est compté, vous apprenez à connaître Johnny, celui qui est dans votre crâne.

    Entre dysfonctionnements, missions à haut risque, solutions à trouver, gagner de l'argent pour augmenter vos capacités physiques high-tech (yeux, bras, jambes, mains, corps, etc...), augmenter vos capacités technologiques de pointe pour pirater presque tout... Bref, votre destin est désormais lié à celui de quelqu'un d'autre et, au fil du temps, sera lié à bien d'autres gens autour de vous -et de Johnny.

     

     

     

     GAMEPLAY ♦

     

    Soyons honnêtes, le peu de touches d'une manette de console n'aide pas à être optimal, sans compter les bugs. Oubliez tout ce que vous avez appris sur tous les autres jeux jusqu'à aujourd'hui puisqu'il n'est pas possible de verrouiller une cible ! Je crois que c'est ça qui me dérange le plus, notamment au corps à corps... Pourtant, il me semble que c'était fait dans The Witcher 3 (mais mes souvenirs sont lointains... Peut-être que Geralt se déplaçait plus automatiquement vers les ennemis qu'il ne les verrouillait parce qu'il se battait principalement au corps à corps). Pour esquiver, même merde, faut appuyer deux fois sur la touche rond... Non mais allo !

    Ensuite, devoir taper deux fois rapidement sur triangle pour ranger son arme, c'est chiant ; si vous n'êtes pas assez rapide, cette touche sert à changer d'arme.

    Et le dernier point que je soulignerais concerne plus le mode photo que le gameplay en lui-même : on doit utiliser la touche Share, ce dont je n'avais plus l'habitude car Ubisoft (notamment sur Immortals Fenyx Rising que j'ai joué juste avant sur Nintendo Switch) permettait de prendre une photo directement avec la touche croix. J'ai du mal avec la touche Share car certains de mes screenshots à l'époque affichaient le petit logo de la prise achevée en haut à gauche de l'écran... Mais là, je chipote un peu.

    A noter que j'ai parfois des bugs avec la moto où, quand je m'arrête, je ne peux plus avancer. Dans les virages, avec quelques véhicules (je ne les ai pas tous testé, vu les prix exorbitants), ne tournez pas trop le joystick parce que ça glisse ENORMEMENT ! J'ai limite fait des 360° abusés alors que je touchais à peine la manette juste parce que la conduite est beaucoup trop fluide.

    Et pour viser avec les armes, puisque c'est immersif, vous avez un sacré recul (j'ai vu qu'on pouvait débloquer des capacités contre au fur et à mesure, peut-être pour le reste de mes autres petits soucis aussi, j'ai pas regardé, il y en a trop...). Très vite, vous ne ferez plus de one-shot avec les tirs en pleine tête. Et dès qu'un corps est trouvé, tout le monde vous cherche. Restez TOUJOURS vigilants parce que là, Cyberpunk a poussé le vice jusqu'au fond du fun.

     

     

     

     LES MAUVAIS POINTS ♦

     

    Faut pas déconner non plus, il y en a. Je protègerai toujours ce jeu face aux gens qui critiquent les nombreux bugs, certes, mais je ne peux pas en dire autant de sa difficulté d'adaptation.

     

    Cyberpunk 2077 se veut un jeu adulte, dur et touché de réalisme futuriste. Sauf qu'il est peut-être trop ambitieux pour son temps. Au final, je l'aurais encore attendu quelques mois, voir années. Parce qu'il offre un lot de frustrations très conséquent.

     Niveaux, points de réputation : oubliez les jeux où, pour choisir une capacité, il vous suffisait de gagner un niveau. Là, il vous faudra des centaines et des centaines de niveau pour tout avoir. Car vous avez diverses capacités à débloquer et, dans ces capacités, d'autres capacités... Et oui ! Choisissez entre développer, par exemple, votre intelligence ou vos réflexes et, dans ces rubriques, choisissez les sous-catégories et les différentes améliorations. C'est compliqué pour vous ? Imaginez pour le joueur qui ne sait même plus s'il préfère l'infiltration ou le rentre-dedans tellement c'est chiant de réfléchir stratégiquement à ses choix de niveau. Car pour certaines parties de Night City, il vous faudra un nombre de niveaux dans une catégorie spécifique pour, par exemple, forcer une porte.

     

     Missions très secondaires : il y a les missions secondaires, celles qui sont scénarisées et assez intéressantes et où vous vous attachez aux PNJ, et il y a les autres missions. Ces missions très secondaire, j'ai toujours appelé ça du répétitif. D'accord, ça augmente votre réputation mais c'est là leur unique attrait. Si vous voulez faire un 100% et vider la map, bonne chance. Parce que je les trouve sans intérêt. On parle de sessions de plusieurs heures pour les faire tellement elles pululent, Night City étant tellement grande, sans compter le désert d'à côté. Si vous jouez, vous verrez de quoi je parle : ces fichus logos bleus !

     

     Les magasins : outre les niveaux, c'est ce point qui est aussi trop avancé sur son temps. Il y a des magasins pour tout et faut passer d'un endroit à un autre pour obtenir ce que vous voulez ; armes ? Chez le vendeur d'armes. Nouvelles capacités physiques ? Charcudoc (le chirurgien des temps futurs avec un nom peu rassurant). Des médicaments ? Chez le vendeur de médoc (alors pourquoi des vendeurs de bouffes ET des vendeurs de boissons ?) Des puces spéciales contre les netrunners ? Encore un vendeur spécialisé... Bref, des vendeurs pour tout. Et c'est très chiant parce qu'ils sont pas à côté les uns des autres. Vous voulez un programme spécifique dans votre corps qu'il faut aller chez l'un, sauf que bah c'était pas forcément le bon vendeur. Des fois, j'me traite de débilus (merci Bob Lennon pour cette insulte passe-partout) parce que j'ai l'impression que le jeu est trop intelligent pour moi. Ça aurait été sympa de réellement pouvoir boire un verre au bar en interagissant avec un barman ou un voisin de beuverie, pareil pour une bouffe dans un restau ou un snack. Quitte à pousser le jeu, autant le faire à fond. Pas comme un choix de deux prostitués uniquement et qui ne ressemblent à rien.

     

    Bémol sur les phrases répétitives des ennemis dès qu'ils vous cherchent. C'en est affligeant tellement ils ont l'air con à répéter leurs paroles en boucle jusqu'à ce que vous vous occupiez d'eux.

     

     

     

     LES POINTS FORTS ♦

     

    Il n'y a pas que de la difficulté et de la frustration dans Cyberpunk 2077.

    Le premier point concerne le fameux Johnny. Un personnage que j'aurai pu détesté, comme V l'a fait dès la sacro-sainte seconde où il l'a "rencontré", mais non. Il m'a fallu quelques minutes pour m'y attacher. L'apparence de Keanu Reeves, je m'en fous parce que ce personnage est une personne à part entière, au delà de l'acteur. Il me pousse à toujours me questionner, questionner les choix à prendre avec V.

    Les doublages français : Encore une réussite. Comme précédemment mentionné, j'ai joué juste avant à Immortals Fenyx Rising des studios Ubisoft avec le doublage français, en choisissant le personnage masculin plutôt que féminin (j'aime rarement jouer les filles dans les jeux et ce depuis ce que SquareEnix a fait à Yuna dans FFX-2) et quel plaisir d'entendre le doubleur Alexis Tomassian, la voix de Matt dans la série animée Digimon de 1999 ! Pour Cyberpunk, je ne connais aucun des doubleurs mais franchement, pour le moment ils sont tous super bons. Pour V, je lui trouve même des nuances du doubleur Hugolin Chevrette-Landesque alias Jason Brody dans Far Cry 3 (encore un jeu Ubisoft, tiens...). Bref, les personnages cools sont cools, les taciturnes sont taciturnes. Pour moi, ça fait un sacré bon point dans ce genre de jeu aujourd'hui.

    Les phases d'infiltration : Je n'avais plus ressenti la nervosité de l'infiltration depuis Tenchu : Fatal Shadows sur PS2 (sorti en 2005). Les Assassin's Creed et les Far Cry permettaient de voir les ennemis une fois marqués mais dans Cyberpunk 2077, marquer des ennemis n'est pas chose aisée ; vous pouvez les pointer un par un si votre optique vous le permet, vous pouvez pirater des caméras de surveillance s'il y en a pour en trouver quelques-uns, pirater directement l'un des gars pour afficher en surbrillance quelques secondes ceux qui sont connectés au même réseau que lui, mais ça s'arrête là. Débloquez au plus vite la capacité qui vous offre quelques secondes pour vous cacher si on vous aperçoit sinon c'est mort et tout le monde tire à vue.

    La carte immense : la possibilité de se déplacer à la dure (à pieds avec des ascenseurs dans certains quartiers pour rejoindre la rue d'en-dessous) ou faire un road-trip en véhicule. Il y a toujours quelque chose à voir, des conversations à écouter par-ci par-là (comme les deux gamins mentionnés qui m'ont retourné le cerveau). La différence d'atmosphère d'une partie à l'autre de Night City (là où ma console crash le plus souvent, c'est à Japantown, justement parce que c'est bien chargé... Comment ça je vais dans les Sex-Shops ? >.> Ils sont fous ces japonais...), et le changement radical d'ambiance dès qu'on sort de Night City pour la cambrousse vaut le détour.

    La plupart des missions secondaires : Faites avec ou pour des PNJ plus ou moins importants, elles ont chacune des intérêts. Aujourd'hui, j'en ai fait une où, normalement, j'aurais dû tuer un assassin... Sauf que le scénario, comme Cyberpunk nous l'apprend tout le temps, change dès les premières minutes. Le prisonnier m'a invité à monter à l'arrière du véhicule de flic avec lui pour m'apprendre sa vision des choses à ce jour et, BAM!, encore une claque en pleine gueule. Malheureusement, rien ne change la fin de cette mission mais ce mec, Joshua, m'a touché. D'autres quêtes secondaires, plus importantes, impliquent des personnages qui nous aident à un moment ou à un autre. Grosse pensée pour Panam (bonne séance de b**se à la fin de la dernière mission avec elle \o/), pour River, mec hétéro qui m'a littéralement arraché le coeur avec son histoire perso' et son neveu et qui m'a frienzoné quand j'ai voulu l'embrasser (je le savais hétéro mais le choix optionnel dans le dialogue était trop tentant après tout ce qu'on a vécu XD) et aussi pour Delamain... ;_;

    Et j'arrête les points forts avec les easter-egg sur lesquels on tombe nez-à-nez sans qu'on s'y attende. Celui de Death Stranding prend tout son sens dans cette ville. Celui de Terminator aussi. Et il y en a plein d'autres, certainement pas mal que je ne connais pas aussi. GTA, Ghost in the Shell, The Witcher. Et même, en mode photo, Sailor Moon... A foison, les easter-egg, à foison !

     

     

     

     AVIS ♦

    Jeu 8/10

    Ambiance 9/10

    Scénario 9/10

     

     

     

     CONCLUSION ♦

     

    Je n'en suis encore qu'au début du jeu. J'aimerais me fixer l'objectif de faire ces missions très secondaires qui me débectent, en espérant ne pas me dégoûter du jeu. Il a un sacré potentiel et je sors de ma zone de confort avec mes habitudes de nature avec les Assassin's Creed.

    Cyberpunk, c'est futuriste, carrément l'un des trucs que j'aime le moins (sauf le film Ready Player One mais grâce à toutes ses mentions geek et ses effets spéciaux, ainsi que Le cinquième élément, parce qu'on apprend à négocier avec Bruce Willis //SBAFF//). J'aurais tellement aimé voir au moins une baleine sauter au loin lorsque j'ai atteint la baie pour la première fois ! Mais adieu les animaux... Quand on sait qu'au tout début du jeu, on transporte un iguane endormi dans une glacière gelée parce que ça vaut un paquet de fric, j'imagine pas le reste.

    J'espère que les futures mises à jour du jeu ne le rendra pas inutilisable sur PS4 PRO parce que j'aimerais encore profiter de cet univers déboussolant, désolant, désespérant mais un poil attirant. Dès que je reprends une session, je me dis que je n'ai encore rien vu. Il y a tellement de choses à voir, à regarder ! Comment va finir V ? Quels choix draconiens l'attendent encore ? Et Johnny ?

    Et si vous voulez y jouer, je le répète : ne comptez pas sur vos consoles Old-Gen (PS4 et Xbox One). Par contre, si les choses n'ont pas changé, si vous achetez le jeu PS4, il sera compatible PS5... Mais c'est une information à confirmer dans le temps et, surtout, si la PS5 vaut le coup pour ce projet si ambitieux. Sinon, il ne vous reste que votre banquier pour un bon PC ou vos yeux pour pleurer...

     

     

    SCREENSHOTS ♦

    CYBERPUNK 2077

     

     

     

    Mon V personnalisé, jeune et déjà marqué par la vie. Mon Nomade à moi... ou pas.

     

     

     

     

     

     

    CYBERPUNK 2077

     

     

     

    On va dire qu'il sourit plus que moi...

     

     

     

     

     

     

     

     

    CYBERPUNK 2077

     

     

     

     

    Tu te balades avec ta moto et tu tombes, en périphérie de Night City, sur une colline, sur un Torii (portail traditionnel japonais qui sert d'entrée à un sanctuaire shintoiste et le sépare du reste de l'environnement). C'est un symbole fort et sacré que je ne m'attendais pas à voir là.

     

    CYBERPUNK 2077

     

    Une très infime partie de Night City, de nuit. C'est pas le quartier le plus riche mais vous voyez déjà la différence entre les immeubles en arrière plan, avec leurs publicités, les véhicules sur les routes, alors qu'il y a un chantier en ruines au premier plan...
    CYBERPUNK 2077

    Quand je parcourais les plaines pour revenir en ville, il m'a fallu des kilomètres pour me dire "et si je prenais une photo ?" Night City est encore loin, je n'étais même pas encore aux abords. Pensées pour Jackie dont j'utilisais souvent la moto avant d'avoir celle de Scorpion.

    Dites vous que derrière le photographe, il y a des kilomètres et des kilomètres de brousses...

       

     MERCI CD Projekt RED


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